
02 avril 2025
Dans un discours explosif devant l’Assemblée générale des Nations Unies, le président argentin Javier Milei a dénoncé avec force les confinements COVID, les qualifiant de manœuvre liberticide à l’échelle mondiale. Selon lui, ces mesures n’ont jamais prouvé leur efficacité sanitaire, mais ont laissé derrière elles des dégâts irréparables : destruction économique, montée des troubles mentaux et affaiblissement des libertés fondamentales.
Il accuse l’ONU et l’OMS d’avoir imposé une "dictature sanitaire" au nom d’une peur savamment entretenue, permettant aux gouvernements de renforcer leur contrôle sur les populations. L’instauration des passeports sanitaires a selon lui créé une ségrégation numérique, reléguant une partie des citoyens à un statut inférieur sous prétexte de sécurité.
« Ils nous ont enfermés, privés de nos droits fondamentaux, imposé une dictature sanitaire au nom d’une peur savamment orchestrée », a déclaré Milei. « C’est un scandale d’une ampleur inédite, et il faut que justice soit faite. »
Milei n’épargne pas les médias, dénonçant leur rôle dans la propagation d’une pensée unique sous couvert de "lutte contre la désinformation". Il affirme que ce climat de censure a empêché tout débat réel, favorisant un narratif officiel dicté par des élites mondiales.
Dans un geste audacieux, il annonce le retrait immédiat de l’Argentine de l’Organisation mondiale de la santé, dénonçant une institution qu’il considère comme ayant légitimé ces mesures répressives. Cette décision marque une rupture forte et pourrait inspirer d’autres nations à remettre en question le système en place.
La question demeure : ces confinements étaient-ils une expérimentation délibérée visant à tester la soumission des populations ? En mettant ces sujets sur la table, Milei ouvre la voie à un débat nécessaire sur la gestion de la crise internationale.
Son appel à la justice pourrait bien marquer un tournant dans l’histoire des politiques sanitaires mondiales.
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